Tatoueuses de fleurs sauvages
Publié le 24 mars 2023
BeautéL’une a hérité des gros livres d'herboristerie de son grand-père, l’autre de l’oeil aiguisé de sa mère botaniste. Avec Carin et Eva on peut faire mieux que Miley Cyrus* : se faire tatouer des fleurs sauvages façon herbier. Deux adresses de tatoueuses délicates pour celles qui veulent avoir le printemps dans la peau.
Celle qui transforme les cicatrices en tiges végétales
Eva a été à bonne école : avec une mère botaniste, la tatoueuse a de solides connaissances en fleurs sauvages. C’est même pour ça qu’elle a fait le choix d'utiliser de la couleur. Le bleu clair d’un hortensia, le rouge vif du coquelicotle, le jaune du mimosa, …. Les archives délicieusement 80's de sa mère la nourrissent autant qu'un olivier devant l’entrée d’un restaurant parisien. C’est en partie de ça qu’elle s’inspire dans ses créas, pour faire fleurir une peau vierge ou habiller une cicatrice après un cancer du sein ou une greffe de peau. Une autre façon de se réapproprier son corps.
Son univers est à découvrir ici : @evatatooist, et son studio est dans le 3e
Celle qui endort ses clients
Carin aime bien le minimalisme, la finesse du trait noir qui se fond dans la peau et qui joue avec les ombres. Son style crayonné vient s’enrouler autour d’un bras, d’une cheville ou d’un décolleté. Avec elle, certains pétales sont remplis, d’autres à peine. Certaines clientes se confient intimement pendant la séance, d’autres s’endorment tant ses aiguilles sont connues pour être (quasi) indolores. L’inspiration, elle la trouve dans les vieux livres de botaniques que ses grands-parents collectionnaient et qui ornent aujourd’hui son studio parisien situé dans une cour pavée du 9e.
Son travail est à découvrir ici : @carinsilver_physalistattoo, et son studio est dans le 9e
Celle qui transforme les cicatrices en tiges végétales
Eva a été à bonne école : avec une mère botaniste, la tatoueuse a de solides connaissances en fleurs sauvages. C’est même pour ça qu’elle a fait le choix d'utiliser de la couleur. Le bleu clair d’un hortensia, le rouge vif du coquelicotle, le jaune du mimosa, …. Les archives délicieusement 80's de sa mère la nourrissent autant qu'un olivier devant l’entrée d’un restaurant parisien. C’est en partie de ça qu’elle s’inspire dans ses créas, pour faire fleurir une peau vierge ou habiller une cicatrice après un cancer du sein ou une greffe de peau. Une autre façon de se réapproprier son corps.
Son univers est à découvrir ici : @evatatooist, et son studio est dans le 3e
Celle qui endort ses clients
Carin aime bien le minimalisme, la finesse du trait noir qui se fond dans la peau et qui joue avec les ombres. Son style crayonné vient s’enrouler autour d’un bras, d’une cheville ou d’un décolleté. Avec elle, certains pétales sont remplis, d’autres à peine. Certaines clientes se confient intimement pendant la séance, d’autres s’endorment tant ses aiguilles sont connues pour être (quasi) indolores. L’inspiration, elle la trouve dans les vieux livres de botaniques que ses grands-parents collectionnaient et qui ornent aujourd’hui son studio parisien situé dans une cour pavée du 9e.
Son travail est à découvrir ici : @carinsilver_physalistattoo, et son studio est dans le 9e
* en référence à cette chanson